Description |
Libya, a country that gained independence in 1951, has known only two contradictory regimes: a monarchy from 1951-1969, and a revolution since 1969. With oil as its main source of revenue, and after ten years of UN backed-sanctions, in addition to a decade of public sector dominance, Libya suffers from both brain drain and brain waste. The active Libyan market of today, after its return to the international community, and given decades of economic and administrative instability, requires skilled and unskilled labour. Libya’s labour policies have always been motivated by politics. There has not been a labour strategy, and the need for skilled labour has been a constant in a rich country with only six million inhabitants.Libya today is country full of promise that offers opportunities to its own citizens. It is still, however, unable either to contain brain waste, or to stop brain drain, especially in the medical field. The private sector which has been reactivated after years of public sector dominance is hungry for labour and regulation is imminent. Economic activities, in infrastructure and building for example, need the labour market, private and public, to be properly regulated.
La Libye, devenue indépendante en 1951, n’a connu que deux régimes opposés : une monarchie de 1951 à 1969 et une révolution depuis 1969. Avec le pétrole comme principale source de revenu, après dix ans de sanctions onusiennes, et une décennie de prédominance du secteur public, la Libye subit à la fois une fuite et un gaspillage des cerveaux. Le marché du travail libyen actuel requiert de la main d’oeuvre qualifiée et non qualifiée depuis son retour sur la scène internationale après des décennies d’instabilité économique et administrative. Les politiques de l’emploi libyennes ont toujours été motivées par la politique. En l’absence de stratégie de l’emploi, le besoin de main d’œuvre est une constante dans ce pays riche pourvu de seulement six millions d’habitants.La Libye d’aujourd’hui est un pays plein de promesses, porteur d’opportunités pour ses citoyens. Elle est cependant encore incapable de réduire le gaspillage des cerveaux et de stopper la fuite des cerveaux, surtout dans le domaine médical. Le secteur privé, réactivé après des décennies de domination publique, a faim de main d’œuvre et la régulation est imminente. Les activités économiques, dans les infrastructures ou le bâtiment par exemple, ont besoin d’un marché du travail, public comme privé, réglementé.
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